...PICTOKOI ?
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Comme un petit bulldozer de l'image, Pictozer s’affranchit des barrières que l’on peut se mettre en tant que créateurs, et favorise une approche décomplexée à mi-chemin entre l'art et l'artisanat.
Choisir une seule technique nous paraissait impossible. Nous chérissons l’idée que l'illustration puisse être partout, sur tout, sans limites de supports, de la céramique à la sérigraphie textile, en passant par l’impression 3D.
Pictozer a pour ambition de redonner une valeur affective à l'objet. Lui rendre sa singularité, à l'écart d'une production massive irraisonnée, c'est aussi valoriser le travail de l'humain qui le conçoit.
Pour Pictozer, créer, c’est une ode à l’enfance passée. Faire des images avec la volonté de retrouver un peu d’insouciance. C’est le doux mélange d'un esprit naïf et décalé avec une atmosphère contemplative, comme un temps suspendu, pied-de-nez à notre monde d'adulte toujours plus exigeant.
Parce que nous avons tous besoin d’un peu de légèreté.
...PICTOKI ?
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D'un côté il y a Anaëlle. Collectionneuse de figurines Sylvanians à ses heures perdues, elle est aussi une grande amoureuse des arts graphiques. Elle affectionne les univers aussi bruts que ludiques et flâne sur les réseaux à la découverte de nouveaux artistes inspirants. Son rêve d'enfant : avoir sa propre boutique pour transmettre cet amour de la découverte et de l'évasion à travers l'art.
Et de l'autre Fabien. Illustrateur indépendant depuis 2013, il dessine pour des sites web, la presse et le prêt-à-porter. Dresseur de monstres de poche depuis ses 10 ans, il puise son inspiration dans les jeux vidéo japonais, la pop musique et les peintures de David Hockney (qui -fun fact- est né le même jour que lui).
Deux grands enfants portés par la même envie d'associer leurs compétences respectives et fusionner leurs identités dans un projet commun à l'univers curieux.
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1 duo, 2 têtes, 4 mains, 20 doigts, créent et confectionnent avec soin des objets en exemplaire unique ou en petites séries à Paris.
